Projets de recherche
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Une sélection de projets de recherche de l'UMR Agap (projets classés par ordre décroissant de date de fin) : ils rendent compte de la diversité des cibles scientifiques, des zones géographiques où ces projets sont conduits et de leurs bailleurs. Parmi les projets décrits dans ces pages, environ la moitié sont soutenus par des fonds publics français (ANR, fondation Agropolis), un tiers par des fonds européens (H2020, fonds régionaux), et le reste par des sources diverses (privés français ou étrangers, organismes internationaux, ...)
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Appuyer l’agroécologie dans le Sud et le Sud-Est de Madagascar
Face aux sécheresses récurrentes et à l’insécurité alimentaire chronique au Sud de Madagascar, le projet Afafi Sud vise à contribuer aux efforts de la réduction de la pauvreté des populations rurales dans le Sud et le Sud-Est de Madagascar en utilisant des approches participatifs, intégrés et agro-écologiques.
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Les mécanismes de formation de l'aérenchyme ne sont pas connus, en particulier les gènes impliqués dans leur mise en place. Leur identification permettrait de comprendre comment ces mécanismes d’adaptation à la submergence, présents chez de nombreuses espèces de plantes à fleurs, se mettent en place. Cela ouvrirait également la possibilité de développer de nouvelles espèces de céréales tolérantes à la submergence. Le riz est le modèle parfait pour identifier les gènes qui sont naturellement présents dans cette espèce.
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G2WAS. Résistance à la sècheresse chez Vitis vinifera.
Le projet G2WAS ambitionne d’étudier les réponses de la vigne à un déficit hydrique aux échelles intra- et inter-annuelles, en intégrant les dynamiques de production, de stockage et d’utilisation des ressources carbonées dans les systèmes végétatifs et reproducteurs. Cette étude sera abordée sur un panel de diversité optimisé pour représenter la diversité génétique de l’espèce cultivée (V. vinifera).
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Bases scientifiques et techniques pour la création d’une filière d’huiles essentielles d’« Aquilaria (Agarwood) » haut de gamme, et de produits dérivés, en Guyane.
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CHEW: le riz et le blé avides de carbone
Le projet CHEW vise à valider si des variétés de riz et de blé contrastées au niveau du rapport source-puits en carbone diffèrent par leur réponse photosynthétique, leur teneur en sucre foliaire et leur rendement en grains, lorsque soumises à une concentration élevée en CO2. La confirmation de ces hypothèses ouvrira la voie à une sélection plus efficiente des génotypes répondant mieux au CO2, que ce soit par sélection conventionnelle ou moléculaire.
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Un nouveau décret de l'Union Européenne limite depuis janvier 2019 la quantité de cadmium (métal lourd) autorisée dans les produits chocolatés. Les pays de la région andine, déjà impactés par le changement climatique, sont, de par la nature de leurs sols riches en cadmium, particulièrement concernés par cette nouvelle législation. Les ambitions de ce projet sont l'identification, le développement et la mise à l'échelle de solutions combinant génétique, sciences des sols et socio-économie permettant de réduire la quantité de cadmium dans le cacao marchand, dont sa production a été fortement encouragée par les gouvernements en tant que stratégie pour réduire la pauvreté rurale et/ou les conflits liés à la drogue.
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CLEMATIS: Apprendre avec des modèles de culture pour évaluer les services de diversification
Le projet CLEMATIS vise à évaluer la contribution de la diversification des cultures aux services écosystémiques via la modélisation participative pour intégrer les connaissances des agriculteurs et des chercheurs
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L’objectif du projet REGEPE2 est d’intégrer de nouvelles espèces à vocations agricoles ou forestières dans le CRB certifié des plantes pérennes de Guyane.
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Le projet LIFE Vida For Citrus vise à mettre en place des stratégies d’adaptation de la filière agrumicole et des agrumes d’ornement en milieu urbain, en Europe aux changements climatiques. Il vise aussi à anticiper l’arrivée en Europe de la maladie du HLB en améliorant la résilience des agrumes.
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preHLB : Prévenir la propagation du HLB dans les vergers d’agrumes
Le projet preHLB vise à limiter les risques d’introduction et de dispersion de la maladie du HLB dans les vergers d’agrumes européens ainsi qu’a développer pour le long terme de nouvelles solutions pour gérer la maladie par une approche multidisciplinaire.
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