Projets de recherche
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Une sélection de projets de recherche de l'UMR Agap (projets classés par ordre décroissant de date de fin) : ils rendent compte de la diversité des cibles scientifiques, des zones géographiques où ces projets sont conduits et de leurs bailleurs. Parmi les projets décrits dans ces pages, environ la moitié sont soutenus par des fonds publics français (ANR, fondation Agropolis), un tiers par des fonds européens (H2020, fonds régionaux), et le reste par des sources diverses (privés français ou étrangers, organismes internationaux, ...)
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Institut Français du Caoutchouc – Création Variétale 4 (IFC-CV4)
Dispositif expérimental de terrain à mettre en place en Côte d'Ivoire et études pour la mise en oeuvre de la sélection génomique au sein de la population de sélection.
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Accompagner l’innovation variétale pour la viticulture et l’œnologie du futur en Occitanie
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LANDSREC Les paysages à haute résolution lors de la recombinaison méiotique du riz
Mieux comprendre les facteurs épigénétiques et génétiques intervenant dans la distribution des cross-overs méiotiques pour établir un outil prédictif de leur réalisation dans les analyses génétiques et en amélioration des plantes
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Via des approches intégrées et participatives DINAAMICC vise à réduire la vulnérabilité des exploitations agricoles familiales des hautes terres centrales de Madagascar aux évolutions climatiques et environnementales par l’amélioration et la promotion de solutions agroécologiques contribuant à leur résilience et durabilité au sein de leur environnement.
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La diversité des variétés et des systèmes agricoles comme atout de l'oléiculture méditerranéenne dans un contexte de changement global
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Le projet NitroSorg vise à développer des outils de caractérisation haut-débit de la qualité du grain de sorgho en particulier la teneur et la digestibilité des protéines. Le projet permettra un bilan de l’offre variétale actuelle et le développement d’outils de sélection. De plus, les tests de digestion in vitro et in vivo chez la volaille permettront d’avancer dans la compréhension des mécanismes de digestion des protéines du sorgho.
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Développer des cultures résilientes au profit des petits producteurs d’Afrique de l’Ouest - ABEE
Le projet ABEE (Renforcement des réseaux et des capacités institutionnelles en amélioration des plantes pour le développement de cultures résilientes au profit des petits producteurs d’Afrique de l’Ouest) met en œuvre une approche coordonnée en sélection variétale, en modernisant les pratiques de sélectionneurs de cinq cultures cibles (mil, sorgho, fonio, arachide et niébé), afin de mieux répondre à la demande du marché. Objectif : contribuer à la hausse de la productivité agricole et de la résilience des petits exploitants agricoles face à la croissance démographique, à la vulnérabilité économique et au changement climatique.
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Tester l’utilisation d’outils phénomique et génomique pour sélectionner les descendants de croisements d’intégration, c’est à dire entre cépages emblématiques et variétés résistantes. Dans ce contexte, l’objectif final de sélection consiste à identifier des individus qui ressemblent à leur parent cépage emblématique tout en étant résistants aux maladies.
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Les signaux environnementaux tels que les températures hivernales et printanières qui contrôlent la dormance et les cycles de croissance/floraison des arbres fruitiers sont modifiés par le changement climatique, menaçant ainsi leur production. Cependant, notre capacité à produire de nouveaux cultivars est limitée par notre manque de connaissances sur les mécanismes sous-jacents et leur variation dans des collections de diversité. Le projet FruitFlow rassemble un consortium international de cinq centres de recherche et trois entreprises pour aborder ces questions sur deux espèces de fruits importantes : le pommier et le pêcher.
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SCOOP : Sélectionner des plantes coopératives pour développer une agriculture plus durable
SCOOP a pour objectif d’explorer les déterminants phénotypiques et génétiques de la coopération entre plantes, afin de produire des variétés qui n’investissent pas leurs ressources dans la compétition au détriment du rendement. Ce projet reposera sur une approche intégrative reliant la biologie évolutive et l’écologie fonctionnelle, en couplant des approches expérimentales et de modélisation.
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